Les études littéraires, et après?

Christian Guay-Poliquin est né à une époque où les enjeux environnementaux se résumaient au trou dans la couche d’ozone et aux pluies acides. Si ses œuvres évoquent les codes de la fiction post-apocalyptique, ce n’est pas tant pour raconter une autre fin du monde mais plutôt pour mettre en perspective la force et la fragilité de nos relations sociales. Ses romans Le fil des kilomètres (2013), Le poids de la neige (2016) et Les ombres filantes (2021) sont parus initialement aux éditions La Peuplade et ont été traduits en plusieurs langues à travers le monde.

En 2023, il a soutenu sa thèse en littérature (UQAM) qui porte sur le récit de chasse dans littérature et le cinéma actuel.

Détentrice d’un doctorat en études littéraires de l’UQAM obtenu en 2008 au terme d’une cotutelle avec l’Université de Sienne, Italie, Marie-Ève Laurin enseigne le français et la littérature au Cégep de Saint-Laurent depuis 2011. D’abord chargée de cours universitaire en français écrit, puis correctrice de l’Épreuve uniforme de français au collégial, elle a travaillé au Cégep de Saint-Laurent à la Formation continue auprès des allophones, à la Formation générale ainsi que dans le programme de Littérature. Parallèlement à ses activités d’enseignement, Mme Laurin a poursuivi des recherches en lettres françaises et italiennes entre autres en collaboration avec le groupe Figura.

Caroline Montpetit est journaliste au Devoir depuis 1990. Elle a complété un baccalauréat en journalisme à l’Université Concordia avant de terminer une maîtrise en création littéraire à l’UQAM. Comme journaliste, elle s’est intéressée successivement aux affaires aux affaires autochtones, à l’éducation, aux affaires sociales et à la culture. 

Avant de faire paraître Bonjour Kwe! (2022), un recueil d’entrevues sur les langues autochtones du Québec, elle a publié deux recueils de nouvelles, Tomber du ciel (2006) et L’enfant (2009). Son reportage sur les femmes et la dot en Inde, publié dans la Gazette des femmes en 2004, lui a valu le prix de journalisme d’Amnistie internationale, section canadienne-française.

May Sansregret est tombée dans la littérature jeunesse grâce à une grosse collection de livres d’Archie que lui avait donnée l’amoureux de sa grande sœur. Depuis, des livres de toutes sortes garnissent sa bibliothèque. May a été libraire et directrice littéraire à La courte échelle. Aujourd’hui, elle est directrice littéraire aux éditions Les 400 coups et elle souhaite écrire pour les enfants. L’attaque de la noirceur et son premier livre.

Forte de 15 ans d’expérience en relations publiques, l’expertise de Karina Sieres s’appuie sur des compétences diversifiées en communication stratégique, gestion d’enjeux et services aux collectivités. La santé et la communication d’impact ainsi que la performance environnementale, sociale et de gouvernance sont au cœur de ses intérêts professionnels. Elle a travaillé au sein d’organisations de tailles multiples en affaires publiques, corporatives et gouvernementales dans les secteurs de la santé et de la santé mentale, de l’éducation et de la culture (Exponentiel, OIIQ, CUSM, UQAM). Elle est détentrice d’un baccalauréat en communication de l’Université Concordia et d’une maîtrise en études littéraires de l’UQAM.